Je m'appelle ZHOU Chunwang, j'ai publié un article intitulé ? métamorphose d'une chenille en papillon ? dans lequel j'ai raconté mes informations élémentaires et mon expérience douloureuse de la pratique du Falun Gong. ? la pensée des absurdités que j'ai agies dans le passe, je les trouve très incroyable.
J'ai commencé à pratiquer le Falun Gong en 1998, parce que LI Hongzhi nous a dit ? ceux qui pratiquent le Falun Gong n'ont pas besoin de prendre des médicaments et recevoir des injections, je vais assainir leurs corps… ? Entendant ces mots, je me suis demandé ? existe-t-il des choses si bonnes et des gens si ‘bons' au monde? ? Vouant un bel espoir, j'ai pris part au rang du Falun Gong. Puis, j'ai compris que les pratiquants du Falun Gong appellent la pratique du Gong ? la cultivation ?, mais pas simplement une ? pratique du Gong ?.
En ce moment-là, moi comme débruteur, je ne savais pas très bien les soi-disant ? doctrines ?. Au début, l'instructeur m'a dit qu'il ne fallait pas me dire trop ? profondément ?, et qu'avec l'élévation de ma pratique, il me dirait les ? doctrines ? plus élevées. En effet, avec ma pratique, je me suis fait un ? homme cultivé ? d'un débruteur. Sous l'influence des théories du Falun Gong depuis longtemps, ma connaissance des ? doctrines de la loi ? était bien différente du premier moment où je voulais pratiquer le Gong pour fortifier mon corps. Dans le but de poursuivre l'instruction des doctrines du ? ma?tre ?, je suis allé à Beijing plusieurs fois ; j'ai abandonné l'honneur, la richesse et l'amour et affronté mes parents pour le Falun Gong. Je croyais que si je faisais assez de progrès, le ma?tre pourrait éliminer le karma pour moi.
Un jour, j'ai trouvé soudainement prurigineux au poignet et sous le bras. Au début, il suffisait se gratter. J'ai vu cette chose aux yeux d'une ? personne cultivée ? : c'est une bonne chose qui implique que je suis en train d'éliminer du karma. Mais quelques jours plus tard, la surface prurigineuse s'est étendue. Toutes les parties plissées de mon corps étaient prurigineuses et mon poignet s'est égratigné jusqu'à pourri plusieurs fois. Hélas, en ce moment-là, je croyais que c'était peut-être parce que je n'ai pas faire assez d'efforts pour protéger le Gong, et si je faisais tout ce que je peux, le karma ne pourrait plus me déranger. Donc, je me suis engagé dans la pratique du Gong plus profondément.
Voyant que je subis des souffrances du prurit, ma mère m'a conseillé d'aller au Premier H?pital de la ville qui est connu pour son traitement de la dermatose. Je lui ai répondu dédaigneusement : ? c'est différent des maladies des communs, c'est de purifier le corps, c'est l'élimination du karma. Pour nous, les pratiquants cultivés, le corps est indestructible. J'ai dit cela parce que je croyais que ce prurit était en effet extraordinaire : il se déclare au soir, et jamais au jour. Si ce n'est pas l'élimination du karma, alors qu'est-ce que c'est ? C'est une épreuve donnée par mon ma?tre, il est en train de me donner l'opportunité d'élever mon niveau !
Plus tard, le prurit est devenu de plus en plus grave. Non seulement les parties plissées de mon corps ont démangé, mais aussi les autre parties. Il n'y avait pas de pustule, ni de bouton, mais je ne pouvais pas soutenir le picotement. Pendant cette période, je n'ai pas osé aller en dehors, parce qu'il paraissait un nombre infini de torpilles d'aiguillon enterrées dans mon corps qui pourraient s'exploser en tout temps et en tout lieu. Chaque fois que je n'ai pas pu soutenir le picotement, je me suis précipité dans la chambre et gratter pêle-mêle de la tête aux pieds. Quand j'étais bien à l'aise, j'avais déjà mal aux mains et il y avait partout les égratignures. Ma mère m'a souvent conseillé d'aller à l'h?pital, mais j'ai insisté à la refuser en me justifiant que ? ce n'est pas les dermatoses ordinaires du tout, tu vois, bien que tout le corps démangé, rien ne pousse sur mon visage, donc ce n'est pas une dermatose, c'est l'élimination du karma ! ? Voyant mon obstination, ma mère ne savait s'il faut rire ou pleure.
Le temps passe vite. Du premier mois du calendrier lunaire aux vacances d'été, un semestre se passe depuis j'ai fait l'élimination du karma. J'ai supporté la peine tous les jours et même un coup de vent m'a gêné beaucoup. Pendant la période, je n'ai pas pu manger ni dormir, a fortiori pratiquer le Gong. J'étais très agité et impatient tous les jours. Quand le prurit s'est déclaré, c'était inutile de gratter le corps. Tout ce que je peux faire pour apaiser ma douleur, c'est de faire heurter la tête contre le mur. Je même croyais : si je mourais tout de suite, toute la peine finirait, et ca va mieux.
En ce moment-là, mes parents ont consulté l'encyclopédie de médecine secrètement, ils m'ont dit que ce n'était pas l'élimination, c'était la ? psore ?. Cette maladie est causée par les sarcoptes qui parasitent dans les parties plissées du corps humain, et les sarcoptes sont actifs au soir. Ils pénètrent partout dans les tissus de la peau, et généralement parasitent au dessous du cou humain. Le sympt?me est le prurit intense, et l'infectiosité est très forte.
Sachant que c'est la psore, toute la famille est très nerveuse, mais j'ai insisté à refuser d'aller à l'h?pital. Désormais, ma famille a interdit ma liberté d'action, et j'ai été renfermé dans ma chambre par ma famille ; j'avais la chaise spéciale, la place spéciale ; je ne pouvais pas utiliser l'abattant de cabinet d'aisance publique ; mes vêtements ont été lavés séparément. Tout cela a profondément blessé l'amour-propre d'un adepte du Dafa. Donc j'ai pris une détermination que je ne pourrais pas voir le médecin, j'espérais que le ma?tre pouvait avoir la main adroite qui ramènerait la santé, et que la maladie pouvait se guérir sans traitement. Néanmoins, le prurit était de plus en plus grave.
Enfin, comme je n'ai pas pu soutenir la peine, je suis allé à l'h?pital sous les conseils de ma famille. Le docteur ne m'a prescrit qu'un médicament : la pommade au soufre. Un yuan pour chacun, 10 yuans au total. Il m'a demandé de badigeonner le corps tout entier à la pommade au soufre, une fois par jour. Le troisième jour après utiliser le médicament, le prurit s'est arrêté, une semaine plus tard, la guérison.
Bien que ce soit un fait qui s'est passé il y a plusieurs années, et que je me sois dégagé du Falun Gong scélérat, chaque fois que je me rappelle ce fait, je ne peux s'empêcher d'avoir la chair de poule. La psore est facile à guérir, la blessure de mon c?ur est difficile à se cicatriser toute ma vie.
(Kaiwind.com, le 20 janvier 2010)
