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La femme de WANG Xinguo s’est jetée en dehors de la fenêtre pour la plénitude parfaite (photo)

2013-07-05 Source:Kaiwind Auteur:${content.getAttrByFlatName('zuozhe').value}

WANG Xinguo, qui vient de perdre sa femme, vit encore dans la mélancolie. Il est un homme un peu mince, mais le visage est beaucoup plus vieux qu’un homme ordinaire de 55 ans. Ayant demandé au journaliste de s'asseoir, WANG Xinguo a commencé de raconter...

Ma femme XIONG Wanju travaillait dans une imprimerie de la ville Shiyan de la province du Hubei. En automne 1997, la concurrence entre les employés de l’imprimerie était bien violente, et ma femme souffreteuse et moins cultivée est devenue un des premiers employés renvoyés. A cette époque, notre fils a commencé ses études dans une école secondaire, et ma femme avait besoin de prendre les médicaments tous les jours. La vie était un peu dure mais paisible.

. Un jour de l’été 1998, ma femme m’a dit mystérieusement qu’elle pratiquait depuis plusieurs jours un gong appelé Falun Gong. D’après elle, c’est un gong magique, et si ? un membre pratique le gong, toute la famille va en tirer profits ? et ? n’a pas besoin de prendre les médicaments ou traitements médicaux ? ; c’est un gong très utile pour fortifier le corps qui permet de obtenir tout ce qu’on veut après ? atteindre la plénitude parfaite ?. Elle m’a cité beaucoup d’exemples de pratiquants du Falun Gong dont les maladies se sont guéries sans prendre les médicaments ou traitements médicaux.

Désormais, ma femme aspirait à l’effet magique du Falun Gong. Le livre du Falun Gong était tout comme une partie de son corps, et la pratique du gong et l’étude de la loi sont devenus des cours obligatoires pour elle. Elle a même mis le livre Zhuan Falun près de son oreiller lors du sommeil. De plus, elle était plus passionnée pour les activités de pratique et les échanges des acquis ; le soir, elle pratiquait le gong jusqu’à tard dans la nuit. Petit à petit, la pratique du Falun Gong est devenue sa nourriture spirituelle. Pour ? élever le niveau ? le plus vite possible et ? atteindre la plénitude parfaite ?, elle a insisté la méditation à la fa?on des bouddhistes à trois heures du matin tous les jours.

En juillet 1999, l’Etat a interdit la pratique du Falun Gong légalement. Après plusieurs fluctuations, notre famille a retrouvé la vie tranquille et vivait les jours paisibles.

Néanmoins, on n’a pas gagné la faveur du bonheur comme on l’avait imaginé.

Un jour avant la fête du printemps 2005, ma femme et moi sommes allés à la foire pour acheter les produits de la fête. Une femme d'un ?ge moyen a mis le matériel sur les ? nouveaux soutras ? de LI Hongzhi dans le sac de ma femme derrière mon dos. Depuis, ma femme était de nouveau possédée. Elle est souvent sortie seul sous divers prétextes et a fréquemment contacté d’autres obsédés du Falun Gong. Ainsi, elle a recommencé le voyage vers la plénitude parfaite.

Le temps passe très vite et imperceptiblement. La fin décembre 2010, elle se pensait déjà devenue la ? véritable adepte du ma?tre ? et ? fusionnelle avec son ma?tre ?. Lors de la pratique du soir, en état assoupi, elle sentait que son corps se levait lentement vers le ciel comme si elle flottait ! Pendant plusieurs jours suivants, elle était immergée dans le sentiment de voguer en plein ciel en estimant qu’elle avait déjà atteint un niveau assez élevé et que la plénitude parfaite était proche de la main.

Le matin du 20 février 2011, il fait encore froid à l'extérieur. Au moment où je me suis réveillé, j’ai trouvé que ma femme avait déjà fait la méditation. Elle m’a dit avec enthousiasme: ? Ces derniers jours, je me sens plus léger, comme si je poussais des ailes. J’ai vu le ma?tre dans la brume, il m’a appelé sans cesse, je vais aller au paradis. ? Puis elle se leva et se précipita vers la fenêtre. J’ai dépêché de l’étreindre et tirer dans le salon. Après ma critique violente, elle est retournée d’un air éveillé et abattu dans la chambre pour s’endormir. De crainte d’un accident, j’ai recommandé à ma mère de 82 ans de prêter attention à ma femme avant que je sois allé au travail.

Revenant de mon travail à midi, j’ai vu une foule de gens devant l’entrée de notre b?timent. Par curiosité, je les ai approchés, mais ce que j’ai vu c’est ma femme qui se couchait dans une mare de sang, ayant déjà rendu le dernier soupir. Il s'est avéré que peu de temps après mon départ, ma femme a insisté la réalisation de son rêve d’? aller au paradis ? et fait la méditation de tout c?ur en faisant la sourde oreille sur les conseils de ma mère. Tout à coup, elle se précipita vers la fenêtre en criant ? Ma?tre, je viens ! ? et se jeta par la fenêtre...

 



XIONG Wanju est morte sur place.

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