Les femmes représentent une assez grande proportion parmi les croyants obsédés par la secte Dieu Tout-Puissant. Elles sortent sous prétexte de ? faire la promotion ? , ou passent au ? lit d’esprit ? , ou extorquent de? l'argent de don ? , ou portent préjudice à d’autrui pour ? dompter le démon ? ... Elles sont des pistes, mais aussi des victimes. Ainsi, les aider à se délivrer du contr?le du Dieu et à mener une vie normale est non seulement une t?che pour les bénévoles antisectes, mais aussi la responsabilité commune de toute la société. Moi, en tant que volontaire antisecte, j’ai donné un coup de main à plusieurs femmes qui ont envie de se débarrasser du Dieu. Je partage maintenant mes impressions qui pourraient vous servir de référence.
La première impression : peu importe ce qu'il leur arrive, il nous faut adopter une attitude de tolérance complète envers elles, au lieu de les voir à travers un prisme. Leur affiliation au Dieu Tout-Puissant est le résultat des raisons ou des objectifs de toute nature : l’aspirent de plus de ? bénédictions ?, ou la peur du ? jour du Jugement dernier ?, ou la persuasion des proches et amis... etc. Après l’adhésion, leurs mouvements semblent plus ou moins fous : l’achat des livres hérétiques, ou un paiement de ? don ? ou la sortie pour ? faire la promotion ?, ou la lasciveté au ? lit d’esprit ? avec des hommes inconnus. Comme bénévoles antisectes, nous devons traiter normalement ces obsédées. Nous sommes d’avis que tout cela a ses causes intrinsèques. Et ces actions sont ? raisonnables ? aux yeux des croyantes. D’ailleurs, nous devons montrer notre compréhension et notre tolérance envers elles, afin d’établir une relation de l'aide-éducation égale et confiante qui permet une interaction mutuellement avantageuse.
La deuxième impression : prêter une oreille attentive à leurs confidences pour trouver le noeud du problème. Puis on prend respectivement une mesure appropriée selon le cas. J’attache une grande importance au fait qu’il nous faut d'être un bon écouteur, mais pas un instructeur au moment d’aide. Lors de la conversation, par leur fa?on de parler, on peut pénétrer en profondeur dans leur monde intérieur dans l’intention de trouver la clé du problème et le point d’introduction de aide-éducation. Tenant compte de leur ? garantie ? devant le Dieu Tout-Puissant, de peur de divulgation, elles ont toutes une bonne conscience de protection. Cependant, l'attention a des limites. Durant la conversation, les obsédées parlent souvent des expériences de vie et des choses passées pour se garder de une révélation. ?tant bons à écouter, on peut ainsi trouver une résonance idéologique avec elles, qui nous ouvreront la porte du c?ur. Par exemple, une obsédée m’a parlé de la mort de son père, et elle était toute petite à ce moment-là. Par manque d'amour paternel, attirée par des ? amis ? masculins plus ?gés qu’elle, celle-ci s’est abandonnée profondément au bourbier de secte après son mariage. C’est un exemple typique de complexe d'?lectre. La question est simple si l’on défait ce complexe.
La troisième impression : on est capable de les aider à se libérer du Dieu Tout-Puissant par le biais des entretiens intimes et des communications. La pratique a prouvé que si un homme ne veut pas se corriger, personne ne peut le changer. La transformation dépend de ses propres efforts, et les bénévoles ne jouent qu’un r?le auxiliaire de l'orientation. La communication à plusieurs fois est un des moyens importants. Tout d'abord, pourquoi on professe en Dieu Tout-Puissant ? Il n'y a pas de fumées sans feu. Il y a des raisons spécifiques pour l’adhésion des femmes. Et nous devons les aider à voir clair la raison. Deuxièmement, quelles sont les nocivités du Dieu Tout-Puissant ? Avec la comparaison d’un grand nombre de faits (les faits des entourages sont les plus convaincants, et puis les cas publiés sur Internet), on les aider à conna?tre les risques réels et latents du Dieu et leur donne un appel de réveil. Finalement, comment doivent-elles s’agir dans le futur ? D'une part, elles analysent les conséquences d’une croyance continue en Dieu avec nos aides ; d'autre part, le c?té positif de la vie réelle leur donne l'espoir. Il suffit de les aider à trouver un nouvel espoir, la t?che d’aide-éducation est à moitié finie.
La quatrième impression : établir un systèmesocial stable à long terme de soutien basé sur la réalité et donner plus de soutiens et d’aides. Aider les femmes à se tirer du Dieu est seulement une partie de notre t?che. Le point le plus important réside dans leur retour serein de la vie réelle, soit loin du Dieu. Il y a quelques clés. Premièrement, elles ont quelque chose à faire, y compris un travail stable et un environnement familial stable. Elles peuvent récompenser au cours de travail et trouver l’identité de soi. Deuxièmement, isolées du Dieu et l’obtention l'identité venant des entourages, celle de leur famille en particulier, et contribue à la formation d’un cercle interpersonnel stable. Troisièmement, c’est leur auto-développement. Gr?ce à l'auto-travail, l'identité de soi, elles réalisent le développement de soi. Un sentiment d'accomplissement et celui d'appartenance dans la vie réelle profitent leur vie en paix. Quatrièmement, un soutien et une aide à long terme. Dans le but d’accro?tre la force, des hérétiques du Dieu ne reculent devant rien pour recruter les nouveaux. Les anciens participants constituent leurs points-clés d'amadouement. Il en résulte que une aide et un soutien à long terme sont indispensables pour empêcher la réadhésion du Dieu Tout-Puissant.
On emploie de différentes méthodes conformément à la circonstance personnelle au cours d’aide des obsédées à se débarrasser du contr?le mental du Dieu Tout-Puissant. Tous les chemins mènent à Rome. Avec plein d'affection et d'amour, on peut toujours trouver plus de moyens, des moyens plus efficaces pour faire bénéficier plus de femmes du Dieu.
