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L' origine du falungong

2009-03-31 Source:Kaiwind Auteur:

 

En 1988, Li Hongzhi, qui était alors un employé d' une compagnie de céréales et d' huiles comestibles d' Etat, à Changchun, province du Jilin, a appris deux sortes de qigong (gymnastiques énergétiques). Plus tard, il les a combinées avec les mouvements chorégraphiques qu' il avait vus en Tha?lande pour créer le falungong. C' était au début des années 1990. Ainsi a commencé l' histoire de Li Hongzhi et de son falungong.

 

       Avant le mois de décembre 1994, Li Hongzhi s' est présenté d' abord comme un ma?tre de qigong doté de pouvoir magique, puis comme un grand ma?tre. Il cherchait à obtenir des récompenses, assez fortes à l' époque, en apprenant le qigong et en ? soignant le malade par l' énergie vitale émanant de son corps ?. Ce cure énergétique lui a rapporté chaque fois plusieurs dizaines voire plusieurs centaines de yuans. S' il organisait des cours d' enseignement du qigong, le droit d' entrée serait d' entre 30 et 50 yuans. Les pratiquants du falungong étaient alors de simples amateurs du qigong.

 

Bien que cela rapporte beaucoup, ? soigner le malade par l' énergie vitale émanant du corps du ma?tre ? présentait aussi de gros risques.

 

En 1993, lors d' une Foire du qigong organisée à Beijing, Li Hongzhi n' a pas pu montrer son effet en ? soignant une femme malade par les émissions de son énergie vitale ?. Il a été obligé de rendre 30 yuans à cette patiente qui a demandé l' intervention de travailleurs de la Foire.

 

En ao?t 1994, quand il écoutait Li Hongzhi ? expliquer ses gymnastiques énergétiques et prêcher la Loi ?,  Li Shulin, de la province du Liaoning, a été frappé soudain d' une thrombose cérébrale. Il a prié en vain Li de ? le soigner par les émissions de son énergie vitale ?. Il est mort quelques jours après.

 

En décembre 1994, Li Hongzhi a publié son livre Zhuan Fa Lun (Tourner la roue de la Loi), ce qui a marqué un tournant de Li Hongzhi et de son falungong.

 

Désormais Li Hongzhi ne s' est plus considéré comme un ma?tre de qigong, mais comme le ? plus grand Bouddha de l' univers ?. Dans la notice biographique de Li Hongzhi, rédigée par l' Organisation du falungong, on peut lire ceci : ? A l' ?ge de huit ans, Li Hongzhi a acquis la grande Loi du Véhicule supérieur, et est ainsi doté de pouvoirs spirituels extraordinaires, du pouvoir de déplacer et de fixer un objet par des idées, d' exercer l' emprise intellectuelle, et de se rendre invisible….Ses pouvoirs ont atteint le plus haut degré. Il conna?t la vérité universelle, pénètre les arcanes de la vie, sait le passé de l' humanité et peut prévoir son avenir. ?

 

 

Li Hongzhi a demandé aux pratiquants du falungong d' acheter le ? portrait du Chef spirituel ?, et de s' incliner devant lui tous les jours. Ce portrait photocomposé est le résultat d' un assemblage des fleurs de lotus en papiers découpés, d' auréoles peintes et d' une tunique d' acteur achetée dans un magasin, avec Li lui-même.

 

Ainsi le falungong ne relève plus du domaine de qigong, mais il est une ? grande Loi ?. On lit dans le Prélude du falungong : ? La Loi bouddhique est la plus perspicace. Elle est d' une profondeur insondable. Elle est une science des plus mystérieuse et des plus extraordinaire dans toutes les doctrines du monde. La Loi bouddhique permet à l' Homme de pénétrer un monde illimité et incommensurable. Depuis l' antiquité, seule la ? Loi bouddhique ? peut expliquer de manière parfaite les espaces spatiaux de l' existence de l' humanité et de la matière, la Vie et tout l' Univers.

 

Li Hongzhi n' a plus enseigné lui-même le qigong. Il n' a plus donné en personne des ? soins énergétiques pour soigner un malade ?. Il s' est consacré dorénavant à propager son falungong. Les pratiquants du falungong n' avaient plus pour but de faire du qigong pour fortifier leur constitution physique, mais de chercher, gr?ce à l' étude du falungong, à quitter notre planète, considérée par eux comme un ? dép?t d' ordures de l' univers ?, afin d' accéder à un ? état de perfection ?, semblable à celui de ? Dieu, Bouddha, roi ?, des êtres supérieurs de l' univers. Selon Li Hongzhi, tous ses disciples pourront atteindre ce but en dix ans, à compter de 1991. Mais, en 2002, à l' échéance de ce délai, Li s' est rétracté et a affirmé qu' il faudrait encore dix ans ou davantage pour parvenir à ? l' état de perfection ?.

 

Avant le mois de juillet 1999, où le gouvernement chinois a interdit la pratique du falungong conformément à la loi, Li Hongzhi avait fait imprimer une vingtaine de titres de livre, du genre de Zhuan Fa Lun, pour ? diriger les exercices des pratiquants du falungong. Presque tous les pratiquants ont acheté ces 21 titres de livres ainsi que leur édition révisée, y compris des éditions révisées de quelques caractères seulement, ainsi que divers objets comme le portrait de Li Hongzhi et l' agenouilloir servant au pratiquant du falungong.

 

Selon les enquêtes effectuées par la police, de 1992 à la fin de 1999, l' Organisation du Falungong et les entreprises qui en relèvent ont distribué et vendu, au nom de la      ? Société d' étude du grand falungong ?, 10,57 millions d' exemplaires de livres, 5 millions de produits audio-visuels et 1,29 millions de feuilles de portraits et dessins. Le chiffre d' affaires total a atteint 16,1 milliards de yuans, et les bénéfices illicites, 41 millions de yuans.

 

Dans ? Le chef spirituel chinois a exaucé son rêve américain ? qu' il a publié le 1er novembre 1999 dans The Wall Street Journal, Craig S. Smith a révélé que Li Hongzhi, qui avait dit à tout bout de champ qu' il ne recherchait pas la fortune, a pu dépenser plusieurs centaines de milliers de dollars pour acheter une résidence de 600 mètres carrés, près de l' Université Princeton, New Jersey. L' auteur a signalé que Li Hongzhi avait gagné plus de dix mille dollars en faisant un discours en 1994.

 

Mais, ce tournant n' a pas apporté seulement des revenus financiers…

 

Avant l' interdiction du falungong par le gouvernement chinois en juillet 1999, 1 400 personnes ont trouvé la mort à cause du falungong.

 

Les causes de leur décès sont principalement les suivantes

 

——Une fois malades, des pratiquants du falungong ont refusé de se faire soigner, de sorte que l' aggravation de leur état entra?ne la mort.

 

※ Huang Haoxiang, un ouvrier retraité de Shanghai souffrant de l' hypertension, a refusé de consulter le médecin et de prendre des médicaments, et est mort en juin 1999 des suites de l' hémorragie cérébrale.

 

Li Hongzhi a dit : ? Prendre des médicaments signifie que le pratiquant ne croit pas que le falungong  peut guérir sa maladie. Si vous le croyez, à quoi bon prendre des médicaments ? ?

 

—— Certains adeptes endurcis du falungong se sont donné la mort à la suite de la schizophrénie ou de l' hallucination qui les guettait,  ou tout simplement pour accéder à ? l' état de perfection ?.

 

※ En janvier 1998, Wang Chengxiang, ouvrier retraité du Heilongjiang, ?gé de 66 ans, s' est jeté dans le vide de sa maison au 5e étage d' un immeuble, espérant ainsi atteindre le paradis céleste.

 

Li Hongzhi a dit : ? Si vous pouvez vous ficher de la vie et de la mort, vous serez un Dieu ; si vous ne le pouvez pas, vous serez toujours un être humain. ?

 

——Des personnes considérées comme démon ? et tuées par des pratiquants du falungong

 

※ En février 1998, au cours d' exercices du falungong, Wu Deqiao, habitant de Wujiang, province du Jiangsu, a tué son épouse à coups de couteau de cuisine, parce qu' elle lui a déconseillé cette pratique et qu' il regardait en elle un démon.

 

Li Hongzhi a dit : ? Le démon perturbe les exercices du falungong et vous en empêche. ? ? Ce démon exécrable doit être tué. ?

 

Selon des statistiques incomplètes, une vingtaine de médias ont été assiégés ou menacés par les adeptes du falungong, parce que ces médias ont révélé ces graves conséquences.

 

La Télévision de Beijing a émis le 24 mai 1998 une dépêche disant entre autres qu' un pratiquant du falungong est devenu fou, à force d' exercices forcenés. Plusieurs milliers de partisans du falungong ont assiégé la station, l' obligeant à licencier un rédacteur concerné.

 

Li Hongzhi a publié spécialement un ? Ecrit canonique ?, dans lequel il appelle tous les pratiquants du falungong à suivre l' exemple de ceux de Beijing. Cet ? Ecrit canonique ? est intitulé : ? Arracher la racine ?.

 

En septembre 1996, des partisans du falungong ont assiégé l' immeuble du quotidien Clarté (Guangming Ribao). Depuis cette première tentative illégale, il s' est produit au total 78 incidents de ce genre, commis chaque fois par 300 pratiquants du falungong au moins, sous la conduite et l' emprise de Li Hongzhi. Ils ont porté un grave préjudice à l' ordre public, à l' ordre juridique et à la stabilité sociale, et affecté l' exercice des droits de l' homme et des libertés par les autres citoyens.

 

Le 25 avril 1999, quelque dix mille adeptes du falungong se sont rassemblés illégalement devant Zhongnanhai.

 

A la mi-juillet 1999, des partisans du falungong ont assiégé le gouvernement de la province du Henan

 

Au moment crucial de la lutte contre les crues, au Hubei, des pratiquants du falungong ont assiégé le gouvernement provincial.

 

Le 22 juillet 1999, des adeptes du falungong ont assiégé le gouvernement provincial du Guizhou.

 

Répondant à l' appel pressant de la population et de tous les milieux sociaux, notamment des milieux religieux, le gouvernement chinois a déclaré, le 22 juillet 1999, l' interdiction du falungong, conformément à la loi.

 

Puis, le gouvernement chinois a recouru aux médias pour révéler les antécédents de Li Hongzhi et du falungong, les 1 400 cas typiques de décès de pratiquants du falungong, les accusations d' anciens pratiquants et les avertissements des érudits et spécialistes, et est parvenu à convaincre l' écrasante majorité des 2 millions de pratiquants de ne plus participer aux activités du falungong. Dans le même temps, il a traduit en justice et condamné à des peines de prison Li Chang, Wang Zhiwen et Ji Leiwu, assistants importants de Li Hongzhi sur le continent chinois, sous les chefs d' accusation d' organisation et d' utilisation de secte insane pour saboter l' exercice de lois et causer la mort de personnes.

 

Peu de temps après l' interdiction du falungong par le gouvernement chinois, l' Organisation du falungong aux Etats-Unis est devenue le nouvel organe dirigeant du falungong, à la place du commandement général de Chine. Li Hongzhi a continué à exercer son emprise mentale sur une minorité de partisans irréductibles. Et continuent à subsister des actes criminels du genre de décès de pratiquants du falungong, et de violation illégale de la liberté d' expression.

 

Le 23 janvier 2001, sept pratiquants du falungong dont quatre femmes et une adolescente de 12 ans, ont tenté de se suicider au feu sur la place Tian' anmen. Une femme est morte sur le champ et sa fille de 12 ans est morte aussi, un mois après, à la suite des complications suscitées par les br?lures. Avant cet incident, Li Hongzhi a déclaré à ses partisans qu' il leur resterait peu de temps et qu' ils devraient décider de ? mettre à c?té la vie ou la mort ? et d' ? aller à l' état final de perfection ?.

 

Avant sa tentative suicidaire, Chen Guo était une jeune et belle étudiante du Conservatoire centrale de musique

 

Le feu a détruit la belle physionomie de Chen Guo.

 

La surface br?lée dépasse 80% du corps de Chen Guo.

 

Le 23 juin 2002, le satellite Sinosat n° 1 chargé de transmettre les programmes TV de plusieurs dizaines de stations de Chine a été assailli par des émissions d' un poste du falungong installé dans la région chinoise de Taiwan. Au 7 ao?t 2007, les satellites d' usage civil dont Sinosat n° 1, Apstar n° 6 et Asiasat 3S avaient été attaqués 252 fois de la part de l' Organisation du falungong, durant 160 heures au total.

 

En octobre 2002, un Américain d' origine chinoise a essayé de saboter un c?ble de télécommunications à Yangzhou, province du Jiangsu. Quand il a été traduit au tribunal, il a affirmé que son acte ne violait pas la loi, pourvu qu' il vise à propager le falungong.

 

Ces dernières années, l' Organisation du falungong s' est conduite d' une manière plus ou moins différente, en se consacrant avec ferveur à des activités qui ne relèvent pas à l' origine du falungong.

 

Le 20 avril 2003, en prêchant le falungong lors d' une assemblée à la grande région de New York, Li Hongzhi a déclaré ceci : ? Les disciples du falungong doivent faire en ce moment trois choses : la première consiste à parler des faits réels, l' autre à nourrir des idées positives… et enfin à se perfectionner et à bien étudier le falungong. ?

 

? Parler des faits réels ? comprennent découvrir un fait réel et à le propager. Un ? fait réel ? le plus connu a circulé à travers le monde, en mars 2006, gr?ce au journal tenu par l' Organisation du falungong : un camp de concentration établi à Shenyang, en Chine, a emprisonné 6 000 pratiquants du falungong, dont les deux tiers ont été jetés par le gouvernement chinois dans le crématoire après avoir enlevé et vendu leurs organes utiles. Des médias ont envoyé des reporters enquérir sur l' affaire et on s' est rendu compte qu' il s' agissait d' un mensonge. Même le Département d' Etat américain a publié les rapports d' enquête établis par l' ambassade des Etats-Unis en Chine et son consulat à Shenyang, rapports qui nient l' existence d' un tel camp de concentration.

 

L' h?pital traitant les embolies en combinant la médecine traditionnelle chinoise et la médecine occidentale à Sujiatun, province du Liaoning

 

Voilà ce que l' organisation du falungong prétend être le crématoire ?.

 

Le ? crématoire ? décrit par le média de l' Organisation du falungong est en fait la salle de chaudières de l' h?pital de Sujiatun.

 

Le mensonge à propos de Sujiatun a été ainsi dénoncé. Mais des adeptes du falungong continuent à mentir. Ils ont rectifié le tir, en disant qu'   ? il existait dans d' autres parties de la Chine l' enlèvement d' organes sur des pratiquants vivants du falungong ?. Le 6 juillet 2006, deux Canadiens nommés David Kilgour et David Matas qui n' ont jamais été en Chine ont pourtant publié un ? rapport d' enquête ? sensationnel. En janvier 2007, ils ont amendé ce ? rapport d' enquête ? qui est basé sur des preuves qui sont conjecturales ou en termes vagues. Ces ? preuves ? fabriquées de toutes pièces ne peuvent absolument soutenir leur ? accusation ?.

 

Ce fait montre que pour les adeptes du falungong, ? parler de faits réels ? consiste en fait à fabriquer massivement des mensonges relatifs à la persécution des pratiquants du falungong en Chine.

 

 ? Nourrir des idées positives ? est une manière singulière de maudire. Li Hongzhi lui-même a établi la procédure de cette imprécation, qui demande à ses disciples de maudire interminablement les organisations et les personnalités critiquant le falungong. Il leur a transmis de nombreuses fausses nouvelles sur la mort ou la sanction méritée de ceux qui ont critiqué et désapprouvé le falungong, sous l' action de  la malédiction des adeptes du falungong.  

 

Certes, étudier le falungong reste la première exigence envers ceux qui en croient encore. C' est-à-dire qu' ils ne peuvent qu' accepter les enseignements de Li Hongzhi, qu' ils ne peuvent nourrir aucune suspicion envers le falungong et qu' ils doivent refuser toutes autres informations que le falungong. Telle est l' affirmation de Li Hongzhi : ? il n' y a pas d' autre moyen ?. Sinon, ils courront à la perte avec l' humanité entière. Sur le site ? Minghui ?, principal véhicule d' informations de l' Organisation du falungong vers les partisans endurcis du falungong de l' intérieur de la Chine, les informations fournies ne sont pas nettement différentes de celles du passé, à ceci près que le délai promis par Li Hongzhi à ses partisans pour atteindre l' ? état de perfection ?, est rallongé de dix ans. Il se peut qu' après dix ans encore, Li Hongzhi puisse leur procurer un ? état de perfection ?.

 

Cependant, un changement inimaginable s' est opéré dans certains tabous du fulungong. Ses adeptes ont commencé fiévreusement à entreprendre des activités qui ne relèvent pas à l' origine du fulungong. Ils ont organisé des expositions de peintures, des chants et danses, des séances cinématographiques ou télévisuelles, à condition qu' elles profitent à la propagation de leur fulungong, espérant que les gens pourront l' accepter au lieu de le considérer comme une secte insane. A partir de 2004, la Station de TV ? Xin Tang Ren ? de l' Organisation du fulungong donne tous les ans une soirée du Nouvel An pour propager le fulungong sous la couverture de la culture chinoise.

 

En ao?t 2007, l' Organisation du fulungong a proposé un relais de ? Torche en faveur des droits de l' homme ?, visant à boycotter les Jeux Olympiques de Beijing. Mais à ce jour, cette tentative n' a obtenu le soutien d' aucun gouvernement et est rarement rapporté par les médias principaux de l' Occident. Le jour de l' an 2008, le 119e tournoi du défilé de roses a eu lieu à Pasadena, aux Etats-Unis. L' Organisation du falungong a fait tout son possible pour empêcher la participation du char fleuri de l' Olympiade de Beijing. Mais sa demande a été rejetée catégoriquement par les organisateurs américains.

 

Toute personnalité qui a critiqué le falungong ou a tenu des propos peu respectueux envers lui, qu' elle soit officielle ou non officielle, pourra faire l' objet de ? poursuite ? de l' Organisation du falungong.  Le 5 mars 2008, l' Organisation du falungong a prétendu qu' elle effectuerait une enquête destinée à mettre en accusation M. Jacques Rogge, président du Comité international olympique, sous le chef d' accusation qu' il soutient les Jeux Olympiques de Beijing et qu' il s' oppose à la politisation des Jeux.

 

Voilà l' histoire du falungong, appelé hors de la Chine ? le mouvement spirituel ancestral? ou la ? culture traditionnelle chinoise ?.

 

Arrière-plan

 

Dans les années 1980-90, une vague de qigong a balayé la Chine où l' on rivalisait d' ardeur pour apprendre le qigong et se fortifier ainsi la constitution physique. Le qigong est un mouvement ancestral en Chine qui, au moyen de régulation et de conduction de l' état d' esprit, des mouvements du corps et de la respiration, peut aider le pratiquant à avoir un esprit serein, à être en forme et à améliorer son état de santé.

 

Durant cette période, il est apparu un groupe spécial de personnes qui enseignent le qigong contre un certain prix. Certaines d' entre elles ont créé leur propre encha?nement de mouvements du qigong. Ainsi ils pouvaient avoir beaucoup moins de concurrents. Pour se rendre plus notoires, plus fiables et plus insondables, ces ma?tres de qigong prétendaient géréralement posséder un pouvoir magique, et en ont fait un nouveau moyen de gagner l' argent. Deux moyens de gagner l' argent leur étaient communs : primo, ? émettre l' énergie vitale pour soigner le malade ?, c' est-à-dire que le ma?tre de qigong peut recourir à sa ? super-énergie vitale du corps ? pour soigner le malade, et même peut débarrasser le malade de sa tumeur sans le toucher. Secundo, ? organiser un cours d' enseignement du qigong ?. Devant plusieurs centaines et même plusieurs milliers de personnes,  les grands ma?tres de qigong—appelés ainsi par respect par leurs disciples--, qui prétendaient posséder un pouvoir magique répandaient leur énergie vitale sur toute l' assistance pour leur donner ainsi des soins médicaux ou les aider à cultiver eux-mêmes leur énergie vitale.

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