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« Après avoir renoncé à l’hérésie, j’ai ouvert mon centre de guérison de médecine chinoise »

2018-02-05 Source:Kaiwind Auteur:${content.getAttrByFlatName('zuozhe').value}

En 1985, j’ai fini mes études de médecine préventive dans l’?cole de l’Hygiène public de l’Université de l’Ouest-Chine de Médecine et ai été affecté dans le service de contr?le des maladies de la Station antiépidémique de la Commune de Dazu de la ville de Chongqing. Au parallèle de mon travail, j’ai aussi coopéré avec l’H?pital pédiatrique de l’Université de Médecine de Chongqing. En 1987, mon article ? ?tude évolutive de l’inspection et de la surveillance des maladies à Dazu ? a obtenu le 2ème prix des Résultats de Médecine et de Technologie de la Direction de l’hygiène de la ville de Chongqing et le 3ème prix du Progrès scientifique et technologique du gouverrnement populaire de la Ville de Chongqing ; plusieurs de mes articles ont été publiés dans le magazine ?tude chinoise des épidémies. Avec mes accomplissemnts brillants au travail, je suis devenu chef du service de contr?le des maladies de la Station antiépidémique de la Commune de Dazu en m’occupant de contr?le antiépidémique général de la commune. ? vrai dire, mon parcours professionnel s’avère plut?t sans obstacles et je suis parmi les meilleurs de la génération et joue un r?le central dans le travail antiépidémique.

Celui au centre et en costume noire est Li Jian

Pourtant, devenu un cadre intermédiaire, je suis devenu inadapté aux relations complexes professionnelles et me suis prolongé dans les ennuis de la réalité et les rêves de l’idéal. ? l’université, puisque j’apprenais la médecine, ignorante des affaires du pay, j’avais la tendance d’adopter l’extrémité en traitant des questions et faisais défaut de la capacité de distinguer le vrai du faux, face aux phénomènes néfastes de la société, j’étais plut?t imprévoyant. C’est à ce moment que j’ai fait l’introduction au Falun Gong, et c’est à ce dernier où je résiderais certains de mes v?ux irréalistes en abandonnant décidément ma réputation, mes intérêts et mes sentiments. Je ne voulais que devenir divin à travers ma pratique du Falun Gong. Ayant acheté plein d’ouvrages sur le sujet, j’ai consacré la plupart du temps libre dans l’apprentissage du Fa, pour certains livres, je les ai mêmes parcourus plusieurs fois. Pensant que la propagande du Fa est un mérite qui m’apporterait beaucoup, j’ai organisé pendant presque tous les jours fériés des campagnes de propagande au sein du p?le d’apprentissage. Pendant ce temps-là, moi, qui y était tellement accro que je rêvais dans la nuit que Li Hongzhi me canonisait, je me croyais divin et me voyais me passer de nécessités ordinaires.

Ensuite, avec mes ? efforts ? consacrés dans la pratique du Fa, je suis devenu chef du p?le d’apprentissage du Falun Gong à Dazu. S’étant rendu compte de mes problèmes mentaux, les miens ne cessaient de m’aider et m’instruire de fa?on attentive, mais je ne m’en suis jamais sorti. En juin 2003, j’ai été puni par la loi pour avoir exercé des activités contre-propagande.

Entre-temps, mon état d’esprit a connu une transition douloureuse : au début, j’avais peur que le divin le plus supérieur - Li Hongzhi - doive m’abandonner si j’ai renoncé à la pratique et à la croyance du Fa ; j’avais aussi peur d’être la Une des journaux et d’être discuté par le peuple ; ce que j’ai craint le plus, c’est le fait que j’ai condamné le Fa contribuerait à sa destruction, et je me verrais ainsi condamner à l’enfer. Mais avant la Fête du printemps 2005, mon grand frère a été tué dans un accident de route, il voulait en fait venir me voir. J’étais complètement prolongé dans la désolation. ? ce moment-là, j’interrogeait Li Hongzhi : ? Tu avais prétendu que la pratique assurera la sécurité, la pratique du Fa par un membre de la famille bénéficie à la famille entière. ? Néanmoins, mon frère a quitté le monde avant son terme sur sa route d’aller me voir. Où est allée ta bénédiction ? Je n’avais rien que des regrets et haines en pensant à cela. Dès lors, j’ai commencé à avoir des doutes sur le Falun Gong. Je me croyais ingrat envers ma famille, envers la société et mon propre carrière. Au moment où la patrie avait besoin de mes contributions, je lui ai créé des ennuis.

En 2006, je suis revenu mentalement dans la science médicale. J’ai profité de mon temps libre pour feuilleter un grand nombre d’ouvrages de la bibliothèque et concentré mon attention dans les recherches de l’accuponcture de la médecine chinoise et la médecine de guérison et de protection de la santé. Par la méthode de médecine chinoise, j’ai inventé un moyen de réponse rapide à la diffusion de taille de la grippe dans la population, ce moyen s’est ensuite avéré efficace dans la pratique. En juin 2011, j’ai repris ma passion réelle qu’est le travail médical.

Retourné dans la société, j’ai refusé de diverses séductions hérétiques. En 2011, j’ai obtenu la qualification de l’accuponcture mention saté maladive après avoir suivi des cours relatifs organisés par la Direction d’hygiène de Chongqing. J’avais aussi comme ma?tre Monsieur Xiang Chengdong, qui est un médecin-chercheur clinique spécialiste de la médecine chioise et qui me donnaient des instructions sur l’accuponcture de sa famille et la méthode de traitement par des médicaments et la pression digitale sur le point d'acupuncture. En mars 2012, mon centre de guérison s’est ouvert dans la rue de Tang Xiang à Dazu et des résultats de traitement satisfaisants ont été acquis par la suite. Durant les quatres années suivantes, 85% - 90% des patients qui avaient subi de différentes maladies têtues et complexes étaient ravis de les voir atténuer après leur première visite chez moi. En 2013, à l’occasion de la 8ème édition du Forum sur le développement de la médecine chinois, je suis devenu, sous l’égide de la Confédération nationale de l’Hygiène de Chine, un commissaire spécialiste dans la Commission nationale des spécialistes contre les maladies tenaces. J’ai retrouvé dans le travail ma valeur de vie en tant que médecin.

Après le cauchemar l’aube. Je n’oublierais jamais ces le?ons inoubliables. Pour un chimère, j’avais commis des actes néfastes à la société et aux familles qui pertubaient l’ordre normal de la vie et du travail. Cela me rend honteux. Il n’y a certainement pas de divinité, pas d’ascension vers le ciel, il faut toujours avoir les pieds sur terre et être réaliste.

(rédacteur responsable : Xin Mu)

 

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